vendredi 13 avril 2012

Sophie Raucoules - présentation du projet final - une expérience de la page


La page est conçue comme une bande, une étape vers le volume. Le livre est assemblé dans l’espace. Les différentes possibilités de pliages des bandes construisent le texte, mais la mise en volume de la page remet en question la lisibilité du texte.
Le lecteur actif, constructeur du texte, plie une page en mettant en avant un des éléments textuels en choisissant un des trois scénarios de pliage, puis la dispose sur la surface horizontale pour constituer le haïku de André Duhaime.
Par le pliage adopté, le lecteur actif propose un mode de lecture. Ainsi, tous les modules sont différents, ce qui complexifie la lisibilité du texte.

mon ombre
avec de plus longues jambes
ne me distancie pas
Haïku de André Duhaime


Pour découvrir le texte de André Duhaime, il vous faut plier 18 pages selon les scénarios définis dans le mode de lecture.
Tout d'abord, téléchargez ici la 1ère page avec le mode de lecture, à imprimer au format A3. Puis, une planche de pages à imprimer soit-même est disponible ici en format A4 pour compléter la 1ère page. Ainsi, vous pourrez construire la totalité de l'haïku.

mercredi 21 mars 2012

iTang


iTang est maintenant mis en ligne et visible à cette adresse : http://quentinaurat.com/2012/itang/
Bonne visite!

Quentin Aurat

jeudi 8 mars 2012

Sophie Raucoules - Une expérience du livre et de la page : vers une performance de lecture






La page est conçue comme une bande, une étape vers le volume. Le livre s'assemble dans l'espace. Les différentes possibilités de pliages des bandes construisent le texte. Mais la mise en volume de la page remet en question la lisibilité du texte.

Je souhaiterais faire du projet un objet participatif.
Chaque participant plie une bande en mettant en avant un des éléments textuels, puis la dispose sur la surface verticale adhésive pour construire le texte de Brigitte Giraud.
Chacun des participants, par le pliage adopté, propose un mode de lecture. Ainsi, tous les modules sont différents, ce qui complexifie la lisibilité du texte.






jeudi 1 mars 2012

Émilie Pouzet - Invitation, une implication physique du lecteur dans le récit


Invitation est un projet éditorial qui propose de reprendre le livre à ses origines, de l'élaboration du texte à la manipulation des pages au cours de la lecture.
Le livre produit son propre récit en utilisant le récit du mode d'emploi :
Invitation consiste à tailler un crayon neuf sur les pages. Ainsi, les traces de cette opération traduisent un cheminement, un récit de gestes. En taillant le crayon, le lecteur est aussi l'auteur du livre.

lundi 13 février 2012

Quentin Aurat - Tangram

Une partie de mes travaux au sein de l'ARC interrogent la notion de composition et d'interprétation musicale à partir de formes génératives qui organisent des sons. Je tente de réinventer certains principes de la composition musicale en incluant une dimension instrumentale dans l'objet éditorial. Tangram regroupe une série d'expérimentations numériques avec comme base la forme du triangle rectangle. Tangram est aussi le titre d'une revue papier que j'ai conçu pour proposer un travail de rédaction théorique, une bibliographie et des références.




Le travail ci-dessous est un logiciel réalisé avec Processing et Pure-data. Il s'agit d'un générateur de Tangram qui communique en temps réel avec un synthétiseur sinusoïdal. l’enjeu de cette expérience est de matérialiser la polyphonie en image, et vice-versa.




L’expérience ci-dessous est un détournement dans l'usage d'iTunes, logiciel grand public de lecture multimédia. Il s'agissait pour moi de considérer iTunes non plus comme un outil de lecture mais comme un outil de composition musicale autonome. En se servant du potentiel et des gadgets inclus par défaut dans le logiciel, j'ai reconstitué un générateur de Tangram à partir des modalités déjà en œuvres.




Enfin, le travail ci-dessous est à l'origine du projet Tangram. J'ai conçu un scanner vidéo qui "lit" un cahier à pages pliables pour créer des combinaisons de formes géométriques imprimées. La manipulation de cet objet dans un dispositif numérique/analogique met le lecteur face à un instrument dont il contrôle certains paramètres. La présente vidéo témoigne du résultat sonore perçu en temps réel.


dimanche 29 janvier 2012

La ligne et la manière - Sophie Raucoules

L'objet se créé par le pliage. L'espace plane est perturbé par le pli. L'opération de pliage rend possible l'association des éléments imprimés sur l'objet. La logique demande une recherche dans le pliage pour élaborer une lettre, un mot, une phrase. Les scénarios de lectures sont donc multiples. Les différentes associations donnent lieux à un déploiement du texte dans l'espace qui peut être prolongé à l'infini, si l'on accumule le même objet.

Références:

samedi 28 janvier 2012

vendredi 27 janvier 2012

jeudi 26 janvier 2012

Esthétique du livre d'artiste

Indispensable : Esthétique du livre d'artiste, une introduction à l'art contemporain, l'ouvrage d'Anne Mœglin-Delcroix est disponible depuis le 19 janvier 2012 dans une nouvelle co-édition Le mot et le reste et la Bibliothèque Nationale de France. Référence majeure sur le sujet (tous les acteurs historiques du livre d'artistes sont présentés), le texte est revu et augmenté pour l'occasion, et enrichi de nombreuses reproductions.

Les vœux de Lucie

Faites circuler les vœux !!
C'est depuis son stage chez Malte Martin que Lucie Soulat, "une ancienne de l'arc", nous fait parvenir les vœux de la mairie de Bobigny à ses habitants, déclinés en affiche et dans un petit livre à lire, à écrire et à partager entre amis... Un projet sur lequel elle a travaillé et une jolie façon de poursuivre en couleurs et à l'échelle un travail commencé l'année dernière sur le thème du journal de lecture.

dimanche 22 janvier 2012

Carnets de croquis

Schémas de principe et fonctionnement du projet dans les pages des carnets de Guillaume de Ubéda (ci-dessus) et de Nassim Azarzar (en haut).

Espaces intermédiaires et non-lieux

À l'occasion du travail de sandrine Corbin, nous retrouvons l'anthropologue Marc Augé, théoricien des non-lieux, espaces interchangeables de la modernité. "J'ai d'abord utilisé la notion de non-lieu pour l'opposer à celle de lieu anthropologique - ce lieu à la rencontre et à l'exploration duquel l'ethnologue se consacre classiquement. Dans le lieu anthropologique, on peut lire dans l'espace l'organisation sociale (à travers les règles de résidence, par exemple), le passé commun et les symboles partagés : tout y fait sens (social). Dans les non-lieux, cette lecture n'est plus possible : ce sont des espaces de coexistence contingente et éphémère, concrètement les espaces de circulation, de consommation et de communication. Ces espaces se multiplient en même temps que l'histoire s'accélère, que la planète rétrécit et que l'individu consommateur s'isole. Ces trois inflexions constituent ce que j'ai proposer d'appeler surmodernité, pour suggérer qu'elles procèdent d'une amplification des mouvements constitutifs de la modernité." Une lecture à poursuivre ici :

samedi 21 janvier 2012

Présentation des projets, suite

Quentin Aurat

La recherche porte sur l'élaboration de principes génératifs qui associent le son et l'image et questionnent le rapport ordinateur-papier.

Dans le principe combinatoire qui sous-tend la recherche, le concept d'harmonie, notion fondamentale en musique, sera un support d'expérimentations pour mettre en place des processus de combinaisons et de compositions visuelles et sonores, basées sur le principe d'empilement, de simultanéité, d'ubiquité et de polyphonie.

Une première étape du travail fait référence au Tangram (puzzle chinois composé de sept pièces) pour en tirer ses propres règles sur l'harmonie.

L'ensemble des expériences converge vers la conception d'un générateur sonore, un compositeur aléatoire basé sur l'écriture informatique et le langage binaire appliqué à l'écriture d'un texte. Le projet propose d'envisager le générateur comme support de lecture et d'écriture, selon des modalités qui sont à l'étude.

(références : Pierre Boulez et Paul Klee)


Guillaume de Ubéda

Le projet explore la transversalité print et numérique ainsi que la page comme écran. En se situant à la croisée du texte, de son auteur et du lecteur, il interroge également la part du lecteur dans le récit, en termes de création et de participation à son élaboration.

Concrètement, le projet s'articule entre la production de livres blancs réalisés exclusivement en papier de récupération, et de travaux vidéo, avec la volonté de combiner un contenu virtuel et sonore tout en combinant les supports de la narration. Le livre reste un objet que l'on a entre les mains et dont on doit tourner les pages pour faire apparaître le contenu (vidéo). Se posent les questions de rythme du lecteur et son rôle dans la progression du récit. Pas de lecteur, pas de récit.

La vidéo est pensée comme un équivalent de l'univers mental du lecteur ou évoque l'imaginaire de la lecture.

(référence : Golan Levin)


Nassim Arzazar

Les premières idées se sont développées selon plusieurs scénarii.

- scénario 1 : Lecture interactive et superposition

- scénario 2 : Lecture augmentée

Le livre se lit à l'aide du téléphone portable. Un jeu s'installe, la lecture se fait en fonction du déplacement du téléphone qui permet de sélectionner le texte. Nécessite un travail de structuration du récit en fonction des processus impliqués.

- scénario 3 : Lecture à deux. Il s'agissait de jouer sur la solitude du lecteur.

Le support et le questionnement engagés dans le projet sont ceux de la presse quotidienne et les images médiatiques. Trois axes pour la recherche : la survisibilité, le contexte, la source.

(référence : Chris Marker, Les Lettres de Sibérie

Mots-clés : image type, vestiges d'images, fragmentation, recomposition)


Émilie Pouzet

Le projet repose sur la notion de "geste interfacé".

Une première étape a consisté en l'élaboration d'un inventaire de gestes interfacés simples, en enregistrant les traces et les empreintes selon différents procédés plastiques (enregistrement des mouvements des doigts sur une plaque de métal en reproduisant la gestuelle de zoom de l'iPhone par exemple).

Dans la première maquette de livre, le principe d'une page dans la page génère un principe de reliure. Ce qui fait lien entre les pages renvoie au geste engagé au sein du livre pour la lecture.

Avec la deuxième maquette, on va chercher à intégrer le passage du lecteur dans le livre. En tant que support sensible, le papier va avoir un rôle prépondérant. Le projet s'oriente plus précisément sur le langage du geste dans le livre.


Justine Romuald

Cherche une correspondance visuelle et fonctionnelle du "clic" transposé sur le papier.

Le travail interroge la rhétorique du livre et les principes de navigation, dans le livre t à l'écran.

Le projet se situe dans une recherche d'hybridation des langages iconiques et textuels pour les croiser dans un même texte et fait appel au langage css.

L'ambition est de caractériser tous les éléments du récit pour amener à un nouveau mode de lecture, fondé sur des éléments visuels et sensibles : associer un personnage à un papier, à une icône, utiliser la couleur et la texture des papiers...

Référence importante : le travail de Fanette Mellier en résidence à Chaumont pour Bastard Battle ou Le travail de Rivière.

L'écriture du récit rappelle celle d'une pièce de théâtre : prologue, présentation des personnages acteurs et progression par séquence. Le récit se complexifie et s'intensifie au fil de la lecture, il est de plus en plus documenté.

Déroulement : on avance de clic en clic, au gré du lecteur. Les icônes permettent de se déplacer dans trois récits différents.


Marga Berra Zubieta

Le point de départ : action et participation.

À partir d'un constat portant sur le vocabulaire récurrent des mots associés aux situations d'échange et de partage, comme invitation, communication, conversation, participation, contribution,... autant de mots qui ont en commun la même terminaison, une nouvelle orientation et un nouveau principe de circulation de l'échange mobilisent le travail.

S'appuyant sur le roman de Perec, La disparition, le projet propose une lecture de la disparition du texte par l'apparition de la cartographie des "TION", instaurant une autre narration: cartographique et visuelle d'une part, sous forme d'inventaire d'autre part.

En les reliant avec du fil rouge, le travail sur l'apparition des "Tion" correspond à un trajet dans le texte. Le projet interroge le fil du texte, le fil de la lecture, le fil de la narration.


Sandrine Corbin

Sandrine Corbin a tout d'abord trouvé la matière de son travail dans l'exploration de la vie quotidienne. Privilégiant les habitudes et les petits rituels du quotidien, elle a également questionné les normes et les contraintes sociales et notre capacité à nous y plier ou à les réinventer. Peu à peu, attentive à l'écoulement du temps et à la traversée des espaces, un principe de correspondance s'est établi entre les actions et les lieux. Le film de Tarkovski, Stalker, est devenu la base d'un nouveau travail ainsi que la lecture de l'ouvrage de Marc Augé, Non-lieux, introduction à une anthropologie de la surmodernité.

Se déplacer dans un espace sensible et réactif comme celui de la zone définie par Tarkovski, la théorie du non-lieu et une réflexion sur la solitude prennent le relais des recherches initiales :

- comment mettre le livre et l'édition au service de l'expérience du non-lieu.

- comment un livre et son lecteur pourraient être en interaction pour transporter l'expérience de la zone dans l'édition. D'où la définition des caractères et des caractéristiques que l'on veut activer et explorer dans le livre et l'édition, incluant la manière de se déplacer et la notion d'espace changeant (variation).

(Mots-clés : progression, dévoilement, accessibilité - accessibilité de la zone qui se refuse ou non)


Florine Delatte

Le travail trouve son origine dans un questionnement sur la maison et l'enveloppe.

C'est le point de départ d'un protocole sur le parcours à partir de la maison: prise de notes détaillées et rapport au code appliqués à un rituel quotidien sous forme d'inventaire des lieux traversés.

Le mode d'enregistrement se veut le plus rigoureux possible, puisqu'il s'agit de s'appuyer sur le réel pour en restituer la dimension géographique. La rhétorique du livre et des principes comme le foliotage sont mis au service du projet.

Mots-clés : parcours, chemin, porte, passage, station, transition.

La vie quotidienne et son caractère ordinaire ont peu à peu remplacé le questionnement centré sur la maison et constituent le cœur du projet.


Eline Tourenne

Les notions de fragment et de déplacement, le rôle actif du regard pour parcourir le tout, ont émergé des premières réalisations. Le travail explore les principes de l'interaction, afin de solliciter le déplacement et de permettre l'accès, progressif, au texte ou à l'image. Le temps du dévoilement est important, il peut varier en fonction du lecteur, de son parcours dans le texte.

En s'inspirant de Moments de Jean-Jacques Rousseau de Jean-Louis Boissier, la réflexion vise à déterminer un ou des principes qui permettraient de retrouver l'interaction à l'écran dans l'espace du livre. Celui-ci est conçu sur la base d'un poster format A2, composé de fragments qui se rejoignent et s'unissent par le procédé du pliage. Le lecteur est invité à jouer avec les pliages pour créer des combinaisons de fragments de photos et de fragments de texte jusqu'au déploiement complet. La manipulation est mise en avant, elle souligne la relation du lecteur avec l'auteur et avec le livre, elle permet aussi une réflexion sur l'élaboration du sens et sur les formes du récit (son autonomie).

(Quelques pistes pour la suite du projet : l'importance donnée à autrui, la mémoire et le temps, le jeu et la convivialité.)

mercredi 18 janvier 2012

Présentation des projets : Marine Delgove, tout pour le dessin...

Deux axes majeurs sont à l'œuvre dans le projet : un retour au print chargé des usages du numérique et un rapport au récit et à la narration fondé sur le dessin. Celui-ci est conçu comme une carte, soutenant la possibilité de se déplacer dans un certain espace. Ce parti-pris s'est imposé pour affirmer la proposition de ballade. Les principes de l'hypertexte et de l'interactivité à l'écran sont appliqués au protocole d'écriture et de lecture, ce sont eux qui invitent au déplacement et à la ballade. La diversité des papiers, des formats de pages et des couleurs sont associés à la réflexion sur la lecture et la navigation dans le livre.
Ce qu'il faut retenir de l'expérience : le principe génératif appliqué au dessin et au print et l'emprunt au langage cinématographique. Dans cette perspective, le projet s'ouvre sur une seconde piste utilisant Flash pour zoomer dans l'image et faire apparaître le récit.

Sophie Raucoules, la ligne et la manière

La composition musicale et l'écriture de la partition servent de point de départ au projet. Faisant référence à l'origami pour engager la relation entre le support et le texte, le travail explore les jeux typographiques, la transparence et le pliage ; la notion de modification fait partie du process. Le projet repose pour l'instant sur la création d'une nouvelle typographie pour le numérique, en pensant la pliure et ce que le pli de la page fait apparaître.
Références, Éric Joisel et Robert Wood.

Travaux en cours...

Aperçu sur les projets de Sophie Raucoules et de Quentin Aurat.

samedi 14 janvier 2012

L'INHA et l'édition numérique

Vendredi 13 janvier 2012, l'INHA consacrait une journée d'études à l'édition numérique.
Comment les nouvelles formes de publications que fait naître le numérique se présentent-elles, quels modèles économiques et juridiques ; quelques aspects de la question à retrouver sur le site de l'INHA :

jeudi 22 décembre 2011

Parutions récentes

Pour mémoire et pour les vacances...
- Publication aux éditions B42 de la journée d'étude Lire à l'écran qui s'était déroulée en mars 2010 à l'École d'art et de design Grenoble-Valence : Lire à l'écran, Contribution du design aux pratiques et aux apprentissages des savoirs dans la culture numérique, Annick Lantenois, stdin, Florian Cramer, Pierre Cubaud, Marin Dacos, Yannick James
- Art++, David-Olivier Lartigaud (sous la direction de), éditions Hyx : « En rassemblant un panel de textes originaux et/ou inédits en français, ce livre placé sous la direction de David-Olivier Lartigaud propose d’analyser et de comprendre cette nouvelle approche de la question art/ordinateur à travers un aperçu unique de la pensée contemporaine en ce domaine. Art ++ est le premier titre de la collection Script consacrée à la culture numérique. »

Édition, nouvelles formes

Quelques mots sur l'atelier :
L'arc est consacré aux mutations de l'édition contemporaine survenues avec Internet et la culture numérique. Il s'agit d'expérimenter ces nouvelles formes d'éditions, en étudiant les croisements plastiques et conceptuels qui s'opèrent aujourd'hui entre l'édition papier et l'édition numérique. Lorsqu'un dispositif numérique remplace ou simule un support traditionnel, ce n'est pas le seul texte en tant qu'objet finalisé qui se trouve transformé. Il en va de même de la pratique du design et de la conception des nouvelles interfaces et environnements de lecture et d'écriture. Le numérique ne transforme pas uniquement le processus d'édition ; il intervient aussi en amont, dans le processus de création. L'ensemble des enseignements proposés au sein de l'arc est ouvert aux étudiants des deux cursus de l'école, visuel et volume.
Objectifs :
- Maîtrise des concepts et enjeux des nouveaux supports de l'édition numérique et de l'édition en réseau.
- Développements d'éditions numériques à partir des projets de recherche des étudiants.
- Mise en place d'une plate forme collaborative (wiki) offrant la possibilité de partenariats avec d'autres structures.
Recherches :
- Approche graphique et plastique liée aux projets éditoriaux des étudiants.
- Culture du projet.
- Méthodologie du processus d'édition.
Enseignants :
Panni Demeter, graphisme
Sophie Monville, histoire et théorie des arts
Emmanuel Cyriaque, édition

L'arc poursuit sa route...

L'arc Espace du livre est devenu l'arc Édition, nouvelles formes et renforce son engagement envers les nouveaux supports d'éditions et de diffusions électroniques et numériques.
Le groupe de recherche est conduit par Sophie Monville, Panni Demeter et Emmanuel Cyriaque et rassemble douze étudiants de quatrième année :
Quentin Aurat, Nassim Arzazar, Marga Berra-Zubieta, Camille Célestin, Sandrine Corbin, Florine Delatte, Marine Delgove, Guillaume de Ubéda, Émilie Pouzet, Sophie Raucoules, Justine Romuald et Éline Tourenne.
Les projets développés depuis la rentrée d'octobre aboutiront au début de l'année 2012 à la mise en place d'une interface numérique, une plate-forme qui rendra compte des activités de l'arc en relation avec d'autres groupes de recherche.
Retrouvez Joëlle Labiche et le Lab-graphe à l'adresse suivante : (http://lab-graphe.blogspot.com/)